Il n’y a pas d’extrait, car cette publication est protégée.
Cheminer du « je » au « soi » avec le rebirth
Combien de fois employons-nous le mot « je » dans une journée par exemple ? Bien que je l’ignore totalement, je reste persuadée que c’est le mot le plus utilisé dans notre langage. Il nous désigne en dehors de nos nom et prénom. Il fait référence à notre « Personna », notre personnalité selon C.G …
Le billet de l’année 2023
Je m’autorise à vous partager, à lancer ces mots dans l’Univers. Il m’arrive de les partager avec mon entourage proche, mais là, l’appel extérieur a été très fort, je sors de ma zone de confort ! Il se passe tant de choses dans le monde, dans nos pays respectifs. Oui, nous …
Trouver sa place, Être à sa place
La notion de place peut se poser à tout âge, consciemment ou inconsciemment sous diverses formes : très tôt dans la famille, à l’école, dans la vie professionnelle, lors d’une recherche de lieux de vie… Pour moi, la notion de place est en lien direct avec notre « je suis » et avec …
L’Éveil au féminin
Femme, ouvre ton cœur à toi-même,Tourne ton regard vers toi, en toi,Cesse de chercher l’approbation à l’extérieur,Cesse de chercher l’approbation de ton entourage,Autorise-toi à te considérer toi-même avec bienveillance, avec empathie, avec respect, avec dignité. Que vois-tu en toi ?Certes une femme probablement affairée, meurtrie peut-être, enthousiaste parfois, qui prend soin …
L’éveil du féminin – L’écoute
L’éveil du féminin passe par plusieurs aptitudes ou qualités. Peu importe le nom qu’on leur donne. Je vous partage quelques réflexions : De par mon expérience, il me semble que la toute première est l’écoute. Je parle de l’écoute de Soi, l’écoute vraie, celle qui demande disponibilité, neutralité, bienveillance, honnêteté vis-à-vis …
Il meurt lentement
Il meurt lentementcelui qui ne voyage pas,celui qui ne lit pas,celui qui n’écoute pas de musique,celui qui ne sait pas trouver grâce à ses yeux.Il meurt lentementcelui qui détruit son amour-propre,celui qui ne se laisse jamais aider.Il meurt lentementcelui qui devient esclave de l’habituderefaisant tous les jours les mêmes chemins,celui …
Les mots essentiels
Tout au long de mon parcours de transformation, j’ai découvert ce qu’est la présence. Celle qui se manifeste par une écoute active immuable, empreinte de compassion, de solidité. L’engagement dans la présence, celui qui insuffle assurance, alignement et se prolonge par l’audace de vivre. Transformer sa vie requiert un ancrage …
Discours d’investiture de Nelson MANDELA 1994
Notre peur la plus profonde n’est pas que nous ne soyons pas à la hauteur.
Notre peur la plus profonde est que nous sommes puissants au delà de toute limite.
C’est notre propre lumière — et non pas notre obscurité — qui nous effraie le plus.
Nous nous posons la question : ‘Qui suis-je, moi, pour être brillant, radieux, talentueux et merveilleux ?’
En fait, qui êtes-vous pour ne pas l’être ? Vous êtes un enfant de Dieu !
Vous restreindre, vivre petit ne rend pas service au monde. L’illumination n’est pas de vous rétrécir pour éviter d’insécuriser les autres.
Nous sommes nés pour rendre manifeste la gloire de Dieu qui est en nous.
Elle ne se trouve pas seulement chez quelques élus ; elle est en chacun de nous et, au fur et à mesure que nous laissons briller notre propre lumière, nous donnons inconsciemment aux autres la permission de faire de même.
En nous libérant de notre propre peur, notre présence libère automatiquement les autres.Par notre présence ici aujourd’hui, et par nos célébrations dans d’autres régions du pays et du monde, nous glorifions cette liberté qui vient de naître et nous mettons en elle tous nos espoirs.
D’un dramatique désastre humain qui a duré trop longtemps doit naître une société qui sera la fierté de l’humanité.
Nos actes quotidiens d’Africains du Sud doivent construire une véritable réalité Sud Africaine qui fortifiera la foi de l’humanité en la justice, qui affermira sa confiance en la noblesse de l’âme humaine et qui nourrira tous nos espoirs pour que notre vie à tous soit une vie épanouie.
Tout ceci nous le devons à la fois à nous même et aux peuples du monde entier qui sont si bien représentés ici, aujourd’hui.
A mes compatriotes, je dis sans hésiter que chacun d’entre nous est aussi intimement enraciné dans le sol de ce pays magnifique que le sont les fameux jacarandas de Pretoria et les mimosas de la brousse. Chaque fois que l’un de nous touche le sol de ce pays, il ressent un profond sentiment de bonheur et d’exaltation. L’humeur nationale change avec les saisons. Nous sommes transportés de joie et d’enthousiasme quand l’herbe reverdit et que les fleurs s’ouvrent.
Cette sensation spirituelle et physique de ne faire qu’un avec notre patrie commune explique l’intensité de la souffrance que nous avons tous porté dans nos cœurs lorsque nous avons vu notre pays déchiré par un conflit terrible et lorsque nous l’avons vu rejeté, boycotté et isolé par les peuples du monde entier, précisément parce qu’il était devenu le symbole d’une idéologie pernicieuse, du racisme et de l’oppression raciale.
Nous, peuple d’Afrique du Sud, sommes aujourd’hui comblés de voir que l’humanité nous accueillit à nouveau dans son sein, et que nous, les hors-la-loi d’hier, avons aujourd’hui le rare privilège d’accueillir sur notre sol toutes les nations du monde.
(…) Le temps de soigner les blessures est arrivé.
Le temps de combler les fossés qui nous séparent est arrivé.
Le temps de construire est arrivé.
Nous sommes enfin arrivés au terme de notre émancipation politique. Nous nous engageons à libérer notre peuple de l’asservissement dû à la pauvreté, à la privation, à la souffrance, au sexisme et à toute autre discrimination.
Nous avons réussi à passer les dernières étapes vers la liberté dans des conditions de paix relative. Nous nous engageons à construire une paix complète, juste et durable.
Nous avons réussi à implanter l’espoir dans le coeur de millions de personnes de notre peuple. Nous nous engageons à bâtir une société dans laquelle tous les Africains du Sud, qu’ils soient blancs ou noirs, pourront se tenir debout et marcher sans crainte, sûrs de leur droit inaliénable à la dignité humaine – une nation arc-en-ciel, en paix avec elle-même et avec le monde.
Comme preuve de son engagement dans le renouveau de notre pays, le nouveau Gouvernement par Intérim de l’Unité Nationale prend la décision, en tant que question urgente, d’amnistier les différentes catégories de compatriotes accomplissant actuellement leur peine d’emprisonnement.
Nous dédions ce jour à tous les héros et héroïnes de ce pays et du reste du monde qui se sont sacrifiés ou ont donné leur vie pour que nous puissions être libres.
Leurs rêves sont devenus réalité. La liberté est leur récompense.
Nous nous sentons à la fois humbles et fiers de l’honneur et du privilège que le peuple d’Afrique du Sud nous fait en nous nommant premier Président d’un gouvernement d’union démocratique, non-raciste et non-sexiste.
Nous sommes conscients que la route vers la liberté n’est pas facile.
Nous sommes conscients qu’aucun de nous ne peut réussir seul.
Nous devons donc agir ensemble, comme un peuple uni, vers une réconciliation nationale, vers la construction d’une nation, vers la naissance d’un nouveau monde.
Que la justice soit la même pour tous.
Que la paix existe pour tous.
Qu’il y ait du travail, du pain, de l’eau et du sel pour tous.
Que chacun d’entre nous sache que son corps, son esprit et son âme ont été libérés afin qu’ils puissent s’épanouir.
Que jamais, jamais plus ce pays magnifique ne revive l’expérience de l’oppression des uns par les autres, ni ne souffre à nouveau l’indignité d’être le paria du monde.
Que la liberté règne.
Que le soleil ne se couche jamais sur une réalisation humaine aussi éclatante !
Que Dieu bénisse l’Afrique !Nelson MANDELA (1918-2013)
‟Le jour où je me suis aimé pour de vrai„
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle, n’étaient rien d’autre qu’un signal quand je vais contre mes convictions. Aujourd’hui je sais que ça s’appelle « l’Authenticité ». Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé …