Pourquoi est-ce difficile de prévoir un nombre de séances ?

D’abord parce qu’il n’existe pas de répertoire de classification des dysfonctionnements cognitifs ou physiques.

Ensuite, la demande qui motive la démarche thérapeutique d’une personne, est celle qu’elle a identifiée consciemment dans sa vie quotidienne ou dans ses comportements. Avec la respiration on ne va pas en ligne droite d’un point A à un point B. L’intention est émise soit, mais c’est le corps qui mène la « danse », ce sont les émotions qui émergeront progressivement qui guideront le travail. Mes interventions accompagneront ces libérations successives tout en apportant un cadre, en donnant du sens, en faisant émerger des prises de conscience qui guideront vers l’élément « source ».

Durant mes années de pratique, j’ai observé que le degré d’engagement du « Rebirthé » pèse pour beaucoup dans la balance. Néanmoins c’est un travail de transformation qui se fait dans la durée.

Concrètement, nous fixons un nombre de séances d’un commun accord avec observation de l’évolution dans la vie quotidienne et le bien-être du « Rebirthé ».